Eine der ersten Gravüren des Malers und Bildhauers Mennessons heißt ‚Ich möchte eine Wolke sein’. Während seines ganzen Künstlerlebens mied er die Statik – die für ihn gleichbedeutend war mit dem Tod - und strebte nach Bewegung und Aufschwung zum Licht; sein Werk war für ihn immer ein Streben nach der tieferen Ordnung und dem Sinn seines Lebens. Er hat es geformt wie es ihn formte. Er hat uns verlassen, sein Werk ist uns geblieben – als Zeugnis des Lebens und des inneren Friedens.
Volle Biografie lesenDans la période de recherche que marquent les années de retour à Paris, Mennessons peint surtout les objets qu’il a sous les yeux dans sa chambre de bonne. Peu à peu il prend conscience que l’espace entre les objets l’intéresse plus que ces derniers. L’entre deux immatériel, plus que la matière même. Dans cette toile peinte avec un mélange de stic B et d’huile, le pot rouge est légèrement décalé par rapport au centre, et dans des touches qui vont du blanc à travers des nuances de gris, l’espace entre lui et le petit coquetier gris occupe la plus grande place dans la toile. Bientôt la lecture du Modulor de Le Corbusier, paru en 1955, lui fera introduire la notion de nombre dans celle d’espace, et d’un espace entre deux, l’amènera à la notion de vide préexistant. L’important n’est pas le sujet, mais sa transformation par la sensibilité et l’intellect de l’artiste.
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1956, Entre pot et coquetier
Stic B et huile sur toile